Le regard et le gant : l’archiviste et le naturaliste

Le 3 mars 2022.

La boîte archives fêtant les 100 ans de l’AAS (Association des archivistes suisses) est arrivée en canton de Vaud depuis vingt-quatre heures après avoir traversé les cantons du Valais et de Genève.

C’est aussi aujourd’hui la journée mondiale de la vie sauvage avec pour thème la sauvergarde des espèces menacées pour restaurer la biodiversité.

A cette occasion, découvrons pourquoi l’archiviste et le naturaliste sont si proches et partons à la rencontre de quelques ressources régionales thématiques.

Archivistes comme naturalistes collectent et organisent les objets qui sont représentatifs de la vie. L’un se concentre sur la nature, l’autre sur les personnes physiques et juridiques.

Archivistes comme naturalistes préservent ces traces sur le long terme et veillent à en respecter l’authenticité et l’intégrité ou documentent les éventuelles modifications apportées.

La raison d’être de leur travail est d’assurer l’acccès aux ressources qui permettent de comprendre un écosystème. En tant que records manager, ils peuvent même en faciliter le fonctionnement.

Un élément distinctif entre le naturaliste et l’archiviste est peut-être le pouvoir de destruction. En effet, l’archiviste peut décider en concertation avec le producteur d’archives d’éliminer tous les documents et toutes les données qui ne présentent pas d’intérêt historique et n’ont plus d’utilité légale ni administrative.

Progresser dans votre découverte sur la biodiversité régionale

 

Artistes d’un jour

Téléchargez l’image ci-dessous, imprimez-la ou éditez-la avec un logiciel de dessin pour lui redonner les couleurs de la nature.

Songez que chacun de vos coups de crayon contribuent à colorier l’ensemble, comme notre planète est la somme de mouvements infimes qui s’équilibrent.

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